Poèmes en la 440

Ce livre est en vente uniquement auprès de Catherine Ribeiro :

Dédicacé - 25 € (port compris)

5 avenue de La Marck

08200 SEDAN

Tous les superlatifs ont été employés pour qualifier Catherine Ribeiro, à chaque concert, à chaque sortie d’album.

Les comparaisons aussi fleurissent avec de grands poètes : Henri Michaux pour le surréalisme, Charles Baudelaire pour les “poètes maudits”, Victor Hugo pour le style épique de certains textes, Antonin Artaud pour le cri et la mystique recherche de pureté, “Léo Ferré au féminin” enfin pour replacer Catherine dans le domaine qu’elle revendique : « les saltimbanques ».

Les textes des chansons, regroupés dans ce livre, forment une œuvre poétique dense, cohérente, très révélélatrice d’un personnage tout en paradoxes, curieusement marginalisé et pourtant complètement en phase avec son époque.

La préface de ce livre est un voyage dans l’œuvre et donc la vie de Catherine, elle comporte trois parties, la première, “un désir fou de liberté”, rappelle ses luttes, ses engagements pour la liberté, l’égalité, la fraternité qui ont provoqué la censure des grands médias dérangés par ces cris de révolte

La deuxième s’intitule “Aimer quoi qu’il arrive”, car trop souvent on a présenté la femme engagée en oubliant la femme qui chante l’amour passion ou l’amour maternel.

La troisième :

“J’ai traversé des nuits d’orage,

Pour n’être plus qu’à mon image”

est une biographie succincte qu’on peut lire à travers ses poèmes.

Dans ce livre vous trouverez tous les textes des albums dans l’ordre chronologique mais aussi des textes inédits, très forts comme “Le bruit de la rumeur” ou l’extraordinaire “Mongolie des désordres”… Vous lirez aussi des “portraits” de Catherine par Léo Ferré, Pierre Bourgeade ou Georges Conchon, une lettre de René Char, le grand poète qu’admire Catherine et qui le lui rend bien.

Grand cri sorti de mes entrailles

Cri plus vieux que le monde

Grand cri de vérité

(De cette voix surgira la vie)

Album : Le temps de l'Autre

Dans un monde où le temps est compté en fractions de secondes, où chacun s’oublie, se fuit dans une frénésie d’agitations, qui prendra le temps de s’arrêter pour comprendre une œuvre, un auteur, aussi tourmentés l’une que l’autre ?

A toi qui feuillettes ce recueil, je dis paraphrasant Baudelaire :

“Lis pour apprendre à aimer”